vendredi 20 août 2010

UNE LETTRE VENUE DU COEUR



Quand je goute tes lèvres succulentes, goût caramel
Je tombe des nues, j’en redemande, désir charnel

Tu me fais jaser, tu me rends étourdi par tes caresses
Jamais une femme n’a offert à un homme autant de tendresse

Tes caresses douces valent mieux que le Champagne raffiné
Ton corps qui se cambre est un don du Dieu insoupçonné

Que vais-je dire si ce n’est couvre moi de ta sacralité
Que vais-je dire si ce n’est montre-moi ma destinée

Regarde-moi, laisse-moi te humer, te sentir, t embrasser
Laisse-moi te caresser, te toucher pour que le feu reste embrasé

Maudite soit l'heure où on se quitte sans se dire au revoir
Maudite soit la vie sans toi, une vie vide et sans espoir

Viens dans mes bras, couvre-moi de ta salive envoutante
Je t’amènerai au septième ciel sans que tu ne t'en rendes compte

Tes lèvres si fines si belles, lèvres à aimer, lèvres de déesse
Je les embrasse lentement avec patience et avec tendresse

Tes lèvres framboise et fraiches je ne peux m’en séparer
Mes lèvres charnues collées sur les tiennes pour l’éternité

Nos mains entrelacées, nos jambes entrecroisées sans répit
Nos corps enchantés par le feu, l’ambre et par l’encens qui périt

Déesse de l’amour pour laquelle tout est partage, tout est duel
Tu me rends ce que je n’ai jamais été, douceur qui ruisselle

Tu me rends joie pas tristesse, tu me rends folie pas raison, un conformiste rebel
Tu me rends Joie de vivre pas candeur, tu me rends élan pas paresse, un ange venu du ciel

Je m’étourdi devant tes désirs je m’incline devant tes soupirs tu me remplis de plaisir
Tu es un être à part, tantôt angéliques tantôt féerique, ton essence est difficile à saisir

Qui pourra comprendre ce que je vis, et me suivre dans ma quête du Graal amoureux
Qui pourra en saisir le sens, et m’aider à amadouer ce qui s’embrase en moi comme feu

Personne sauf toi ne pourra remplir une tache si ardue si insensée si cruciale
Tu es la muse perdue venant de loin pour me défaire des peurs et angoisses fatales

Viens près de moi, ne bouge pas, approche-toi et sens ma respiration haletante
Caresse-moi le visage, perlant de sueur, de désir et d’une joie à l'infini renaissante




2 commentaires:

Touch a dit…

sensualité et lyrisme, désirs et peines !

"Maudite soit l'heure où on se quitte sans se dire au revoir
Maudite soit la vie sans toi, une vie vide et sans espoir"

Unknown a dit…

joli poème :)

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