Par la beauté des mots que tu me débites
Je ne peux me séparer de toi, tu es mon gîte
Par la sensualité de tes mains qui me caressent
Je ne peux t'oublier mon cœur, pour toi je me presse
Par le goût paradisiaque de ta langue qui me couvre
Je ne peux m éloigner, grace à toi, en toi je m'engouffre
Par la joie de vivre qui m'étourdit et me rend en transe
Je ne peux que t'embrasser et rallumer tous mes sens
Par ta douce chevelure, au toucher soyeux indompté
Je ne peux que m'incliner devant un charme si vrai
Tu es la Lumière qui me guide dans mes pas trébuchant
Tu es la main qui m'accompagne dans mon destin fleurissant
Tu es la douce nuit qui s'emplit de bonheur et de jouissance
Tu es le temps éternel qui s'emplit de joie et de quiescence
Tu es mon éternel recommencement, indélébile sentiment
Tu es mon rite religieux dans mon déisme peu consistant
mardi 31 août 2010
Toi
vendredi 27 août 2010
Effarade
mardi 24 août 2010
Femme
Ton côté féminin et charnel m'inspire une joie libidinale
Tu es la plus belle des filles, une conquête digne de Hannibal
La plus coquettes des filles c'est bien toi, amour abyssal
Tu menes la marche vers le bonheur, princesse du bal
Tu t'enfouis, tu reviens et avec tes petits gestes tu te déballes
Je peux périr sous tes pieds, beauté tu seras ma pierre tombale
Fini le social, à bat la mesquinerie patriarchale et tribale
A nous l'amour, on n'a pas besoin de votre piédestal social
On n'en a rien à faire, fichtre société qui n'y voit que dalle
Notre amour est universel et humain, joie infinie et gloable
Le votre, il est juste hideux, anatomiquement sous abdominal
A la limite bestial, trés cortical, assez féodal, rarement digital
Le notre est inscrit dans les annales par son côté sacerdotal
A la fois convivial, impérial et loyal, un beau récital labial
Tellement vrai et honnête, il est essentiel pas trivial
Tellement spontané et innocent, il est à la limite congénital
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dimanche 22 août 2010
Maux... Mots...
Mots... Mots qui périssent, maux qui expient
Maux qui finissent et mots qui flétrissent
Ex qui pue, bavure de l'être, trahison élégante
Tu te hisses sur son élégie faite a ton effigie
Effet papillon qui se fige sur ta philosophie éléate
Qui explique ton côté filou semé de multiples fêlures
Partir sans rien dire
Par.... Tir puis re...dire
Sans tir puis sentir
Le sang qui tiraille, sans attirail
Tiretaine qui s'emplit de sang et de rature
Bavure qui se transforme en nervure
Comme une lavure tu t'en débarrasses
Et en fait ta propre hure...
samedi 21 août 2010
Une chance
vendredi 20 août 2010
Attente
Dans la quête d' abolir ton absence, le stress monte un cran
Tu es ma source d' inspiration, et parfois tu es mon tourment
Pour te rendre heureuse? Pour être ton ami et ton amant
Quoique tu fasse, je reste ici a t attendre tranquillement
Avec toi, je touche le fond de mes sentiments profonds brillamment